Entre proroyalistes et antiroyalistes, j'étais hésitant. Après la scène dont j'ai été témoin à Nivelles lors de l'entrée de Philippe et Mathilde, je choisi le camp des anti. Présent dans la foule sur le passage des princes, par curiosité, j'étais à côté d'un groupe d'enfants de 7 ou 8 ans, accompagnés de leur institutrice. Distribution des petits drapeaux, tout se passe bien.