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Des pages plus développées sur Monarchie.

Il faut remettre en perspective historique l'accablant dossier de l'ATA sur Les six mois princiers à la RTBF et leur cortège de déformations énormes.

La monarchie belge est-elle belge ?

Toudi mensuel n°70, janvier-février-mars 2006

« En 1830, les forces politiques qui font la Belgique n'imposeront sa survie qu'à la condition que l'Europe y consente. Et les puissances finissent par y consentir, à condition que la Belgique soit à nouveau aliénée en partie. Avant son indépendance, elle (si elle était destinée à être) est aliénée par sa soumission à des pouvoirs étrangers qui la gouvernent. Après, elle n'existe que dans la mesure où elle est dépossédée de ses initiatives extérieures. C'est à cette composante négative de son existence qu'Albert Ier (lors de la première guerre mondiale) et Léopold III (lors de la seconde) répondent quand ils s'en tiennent strictement à l'idée que les devoirs de la Belgique l'obligent non à se survivre comme telle, mais à s'acquitter de ses devoirs envers ses garants, devoirs considérés comme limités à la défense militaire de son territoire, dans le sens le plus étroit du terme. Il faut d'ailleurs noter que dans les deux cas, cette interprétation limitée de l'indépendance nationale ne concordait pas avec les réactions d'une partie importante de l'opinion publique.» Robert Devleeshouwer, Quelques questions sur l'histoire de Belgique, in Critique Politique n¯ 2, Bruxelles, 1979, pages 5-38, p. 24

Le 23 mars 2000 s’est achevée au Limbourg la saga de six mois d’actualité princière : les fiançailles et le mariage de Philippe et Mathilde ainsi que leurs nombreuses Joyeuses Entrées. (L’écriture de ce dossier s’est clôturée le 20 février 2000).

Ceux qui ont suivi les commentaires du mariage princier à la RTBF ont pu être étonnés de découvrir l'importance donnée au fait de chiffrer la population qui s'est déplacée le long du cortège.

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