Comment ne pas répéter ce que tant d'autres ont déjà écrit à propos du conflit scolaire? Comment exprimer des espoirs et des doutes à l'heure où les militants les plus engagés "sont à la corde"? Pourquoi taire d'entrée de jeu la conviction fondamentale que le conflit scolaire ne prend toute sa dimension que s'il est compris comme un révélateur de la faillite du "modèle" de développement imposé par les majorités économiques et politiques?
L'école est malade, le logement aussi, et l'emploi, et la culture... sans parler de la santé.