Parlant du résultat des élections de juin 2010, Pascal Fenaux et Donat Carlier écrivent dans
La Revue Nouvelle de ce mois que « le PS est parvenu , tant sur les plans économiques qu'institutionnels, à capitaliser les angoisses d'une opinion francophone bien éloignée du volontarisme institutionnel qui l'avait animée de la fin des années soixante jusqu'au début des années nonante ».