"Peu de députés osent dire qu'ils veulent l'indemnité de sortie" écrit Le Soir du 29 novembre 2018 pp. 2-4
29 députés répondent de 38 204€ (M. Corthouts du PS et deux autres) à 458 448 (L. Onkelinx), c'est-à-dire de 1 528 000 anciens francs belges à 19 020 000 anciens francs belges.
Lettre ouverte d'un citoyen gaumais - go mais (!) pas trop vite - comme vous l'avez été M. Collin dans l'affaire des porcs...sains! Et maintenant d'un braconnier.
L’arrogance allemande interroge… Mais tout aurait pu être différent si la gauche radicale européenne n’avait pas abandonné ses convictions, opposées au projet néolibéral d’intégration.
[Nous reproduisons cet article avec la permission de la revue où il va paraître et celle de son auteure souhaitant que ce texte soit lu. Il met bien en évidence les difficultés du problème ukrainien que les médias occidentaux paraissent tout de même fort simplifier.
Tout Wallon un peu conscient ne peut que s'alarmer de la focalisation des médias belges francophones sur Bruxelles qui s'est produite à l'occasion des dernières élections communales. Et même sur la Flandre, car même sans De Wever, qu'est-ce qui changerait ?
Il aura fallu 541 jours pour former un gouvernement, mais 15 jours auront suffi pour traduire en textes de lois le catalogue des mesures socialement régressives élaboré par les 6 partis de la coalition.
On passe à la Renaissance de l'esprit de système à la pensée positive même si le pouvoir politique, entre autres, de plus en plus intrusif dans les universités, y impose la Sommed e Thomas d'Aquin (qui participe plutôt de la spéculation), « pour pallier les diversions propres aux autonomies humanistes », mais à partir d'une « synthèse systématique obsolè
Je retiens d’abord de ce livre d’entretiens sur la vie de Jacques Dubois (JD) interrogé par Laurent Demoulin (LD), professeur comme lui à l’université de Liège, ce titre magnifique et l’histoire surprenante de deux jolies femmes.
Le secrétaire du Mouvement du Manifeste Wallon a écrit à l'ancien Président wallon Jean-Maurice Dehousse pour lui demander en quoi l'on pouvait dire que la façon dont la Wallonie s'était positionnée dans le CETA provenait d'un travail constant de nombreux autonomistes wallons en vue d'obtenir ce pouvoir s
Nous sommes à l'heure où une journaliste pose à la ministre fédérale de l'énergie la question de savoir combien d'entreprises wallonnes sont liées aux éoliennes de la Mer du Nord (JT de la RTBF du 10 février) et où celle-ci (ce qui était probablement voulu), n'arrive pas à répondre parce que en réalité ce projet qu'elle soutient ignore la Wallonie.
A travers divers calculs parfois anciens, et d'autres plus récents en fonction des propositions faites autour de la table des négociations pré-gouvernementales, on voit bien se profiler la disparition de l'Etat belge du moins comme principale autorité publique belge puisque la Flandre et sans doute aussi la Wallonie disposeront de pouvoirs politiques et de moyens financiers plus importants, en
1. Roel Jacobs, Vincent Laborderie, Nicolas Parent, Luk Ryckaert, Dave Sinardet), Luc Van Coppenolle, Gilles Vanden Burre, Philippe Van Parijs, Paul Vaute, Good Morning Belgium, Mols, Bruxelles, 2012.
Sous la direction de Jules Gazon et sous le titre L'après-Belgique, la revue française Economies et sociétés publie en quelque sorte les actes du colloque du Cercle Condorcet qui s'est tenu à Liège le 2 avril 2011.
Non ce n'est pas facile d'approuver la grève qui s'annonce, comme il y a un peu plus de cinquante ans à la veille de Noël.<a class="see_footnote" id="footnoteref1_jkh7axk" title=" Dans la mesure où le patronat n'est pas si heureux que ce